Comment gerer une personne qui angoisse au quotidien?

Vous vivez avec quelqu'un qui souffre d'angoisse. Comment le vivez vous?

je veux simplement encourager les personnes qui angoissent à en parler avec leur conjoint, ou une personne proche, à partager ce passage difficile qui soudain vous hante, vous submerge, à expliquer vos maux: le souffle court, le cœur qui s’emballe, la tête qui tourne ou l' on croit que c’est la fin,votre peur de mourir .
Pour que les personnes qui vous entourent puissent vous comprendre et ne pas culpabiliser.Mais plutôt vous aider à comprendre le mécanisme de votre angoisse.Même si c est dure d'en parler à un proche, il faut le faire, prenez la main d'une personne qui vous aime, ne culpabiliser pas, dites vous que si vous souffrez ceux qui vous entoure souffrent aussi.
Je pense qu'il est sujet souvent d'un passé, de souffrances lointaines.Certains ont besoin d'être rassurer, d'être aimé.Ouvrez la porte à vos angoisses, mais pas tout seul.Ne cachez pas ce mal être derrière des anti-dépresseurs, ou autres médicaments, car je pense que c'est ensevelir encore plus ce mal en vous.je vous encourage, à travailler votre mentale vers le positif, comme un jeu ou un sport.Vous habituez à comprendre l'angoisse qui est en vous, tout comme les hyponcondriaques, certains ont sois déjà été malade ou ont cotoyé une personne atteinte d'une maladie grave.Je vous dis tout çà car mon mari est angoissé, et hypocondriaque.Avec le temps, la patiente, j'ai compris le mal de son passé, et ses peurs , son anxiété. Il va déjà mieux car on parle beaucoup et on se booste beaucoup.
Je vous conseils aussi la méditation, la sophrologie, afin de vous libérer petit à petit de ce maux qui vous hante.Moi aussi j'angoisse, mais je me refuse de m'écouter et je la laisse m'envahir, j'essaye de la comprendre, et de trouver la meilleure solution pour éviter que cela prenne une grand ampleur.La vie est belle, vous êtes sensible est c'est la plus belle émotion que vous ayez dans ce monde.Laissez vous porter par la vie, vous me direz facile à dire...je vous répondrez non faut juste essayer.Boostez votre mentale.Mon mari en est un exemple, il ne prend plus de médicament, quand c est trop à suporter pour lui, on en parle, et il va parfois faire de la sophrologie.Cela fait plus de 20 ans qu il vit ainsi, alors vous aussi vous pouvez y arriver.Ne vous enfermez pas dans ce cercle infernale, rempli de négatif.Bon courage à vous.Je dédicace ce message a l'homme que j'aime plus que tout D.Personnellement, il m'est arrivé de focaliser sur ce mal, les maux grandissaient , palpitations, suée, peur paralysante...j'ai simplement reussi à détourner mon mentale vers autre chose, la musique, prendre l'air, le sport, prendre un lexomil en dernier recours, puis la relaxation surtout m a beaucoup aidé.Maintenant , je me laisse envahir, je l'écoute cet angoisse, et je lui ferme la porte calmement, j ai reussi à booster mon mentale vers le positif, car la vie vaut le coup d'être vécu et non gâché par ses propres émotions.

Prendre sur soi, toujours et encore. Ne plus avoir de vie sinon que vivre pour l'autre, pour le rassurer et oublier qu'on existe aussi. Ca peut fonctionner un an, deux voire plus mais faut pas réver, à moins d'avoir des nerfs d'acier ou des vues sur son compte en banque (ça compte, surtout si c'est un vieux), c'est impossible. Moi mon conjoint n'était pas assez riche pour que je prenne sur moi toutes ses peurs et ses sauts d'humeur.
J'ai de nouveau un copain, qui me fait voyager, réver, qui me gâte comme jamais je ne l'ai été et sans plus jamais entendre de plaintes, de doutes : ça fait énormément de bien au moral. J'aime bien mon ex et je tiens avec lui une relation hors norme puisque très bonne relation et on se raconte tout. Mais je suis quand même très soulagée de pouvoir vivre une vie normale, d'aller où l'on veut sans se demander où est la pharmacie, l'hopital, les médecins en cas d'urgence. Bref, vivre comme des enfants, sans contrainte, libres et heureux de l'être.
Je souhaite bien du courage aux conjoints qui sont passés par là et en règle générale, on s'est très bien comment ça se termine.

Axelle